dimanche 27 février 2011

Là où il y a une volonté, il y a un chemin.


Il y a des phrases, même les plus sucrées, qui vous freinent net dan votre élan. Net. PAF... Le mur. 


On se prépare en secret dans le dedans de soi, on imagine, on a construit un décor euphorique, il y a des bouquets de myosotis accrochés à chaque pensée- comme dans les bulles quand Obélix est amoureux de Falbala- la joie déborde de la page, il y a des petits nuages de fumée rose et bleu ciel sous nos pas et les mésanges virevoltent en ronde grâcieuse ...  Et le couperet tombe. Celui des casseurs de joie. C'est dégueulasse ton bonheur, tu vas en foutre partout. Arrête. C'est ignoble. Essuie. Encore un peu là. Il en reste. Alors on avale les myosotis qu'on pensait offrir. Et on digère mal. C'est fou la perversité tranquille et sourde des gens.. Parfois... 



(Images réjouissantes ô combien!)

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