mardi 15 février 2011



Tout ce qu'ils trouvent d'intelligent à faire c'est d'abattre le chêne centenaire du parc de Villeneuve. Soit disant il est malade. Mais rassurez vous les pitits nenfants, on va vous laisser le tronc pour jouer hein.
N'importe quoi, ça m'énerve. Déjà, les trois quart des arbres de Rennes sont taillés comme des apéricubes. Au carré. Le massacre. Mais c'est quoi cette manie d'élaguer, de tailler. Parfois c'est à se demander si l'homme avec son sécateur et ses scies et ses tronçonneuses ne se venge pas gratuitement d'un truc que l'arbre possède et pas lui. Genre l'éternité. Ou la puissance énorme de ce tronc...  Mais laissez nous des branches qui pendent, qui s'enroulent, qui se tortillent. Laissez les se déployer bon sang. Je suis irritée. Je veux des immenses arbres dans les villes. Immenses. Et tarabiscotés comme ils ont envie. 
Mais non. Il faut que ça rentre dans l'avenue. Que ça dépasse pas. Autant mettre des géraniums alors. Moche pour moche. 


Les fausses liaisons et les lapsus... J'adore. Ca me fait rire quand le langage dit un truc de travers. 


Qu'une histoire m'emporte. Oui c'est ça!


Gnin gnin gnin... il dit.


Si tu deviens une habitude pour l'autre, c'est foutu. 


A la chasse au papillon, capturer un macaon.


Ils font claquer le vieil éventail. Rien que pour le plaisir du bruit. Et du geste. (je suis sûre qu'ils se font des films incroyables en même temps) (non parce qu'ils le font tous là, l'éventail madrilène passe de main en main ce matin)


Sa leçon de physiques sur l'air me fascine. A cause de la beauté étrange des mots. Et que l'air pèse 1,3g en conditions atmosphériques normales. Un dixième de paquet de levure chimique. 


Macaron au caramel salé, macaron à la framboise, au citron. Tuerie de chez Bouvier.


Vivre comme Bruce Chatwin. Dans un appartement vide. Avec deux toiles de maître. Point barre.


Habiller richement mon cerveau à défaut de me faire un pauvre look. (oui on peut faire les deux aussi, c'est vrai)








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